• La nature<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Voici quelques activées sur le thème de la nature

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    Reconnaître les plantes :<o:p></o:p>

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    Voici quelques sites ou vous trouverez les différentes plantes que l’on peut rencontrer et des informations sur chacune :

    http://botania.free.fr/feuilleter.php

    http://toilvegetale.free.fr/php/acceuil.php

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    Herbier :<o:p></o:p>

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    1ère étape : la récolte<o:p></o:p>

    Lors d'une balade en forêt, ramasse des feuilles d'arbres, les plus jolies possibles.

    2ème étape : le séchage<o:p></o:p>

    Matériel : Papiers journaux et du carton ondulé.

    Sur le carton, pose du papier journal en assez grosse épaisseur, pose une feuille dessus.

    Remet du papier journal par dessus et un carton.

    Recommence l'opération pour toutes tes feuilles.

    Pour que tes feuilles ne soient pas gondolées, pose sur l'ensemble de tes feuilles en train de sécher, un gros dictionnaire ou quelque chose d'assez lourd.

    Attention : il faut changer le papier journal tous les deux jours pour éviter que les feuilles ne moisissent

    3ème étape : montage <o:p></o:p>

    Matériel: Des feuilles de papier blanc assez épaisse ou si tu en trouves du papier dit «papier à herbier», Du scotch transparent en <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:metricconverter w:st="on" ProductID="6 mm">6 mm</st1:metricconverter> de largeur pour coller les plantes, Une boîte en carton (par exemple une boîte à chaussures) pour ranger les planches.

    Prends une feuille d'arbre bien sèche, pose-la sur ta feuille de papier, et fixe-la avec le scotch.

    Inscris sur le papier : le nom latin, le nom français, le lieu et la date de récolte.

    Range tes différentes planches dans la boîte.

    Tu peux décorer le couvercle de la boîte en dessinant une jolie feuille dessus.

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    Faire pousser des plantes :<o:p></o:p>

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    Les graines de lentilles sont très faciles à faire pousser. Pour cela vous avez besoin de :

    - un verre en plastique,

    - coton,

    - graine de lentilles,

    - un peu d’eau.

    Pour cela il suffit de mettre du coton dans le verre. De mettre ensuite les graines de lentilles et de rajouter dessus du coton. Il faut alors arroser un peu. Il faut ensuite mettre le pot vers la lumière et l’arroser de temps en temps.

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    Diverses activités :<o:p></o:p>

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    Personnage nature<o:p></o:p>

    Matériel :<o:p></o:p>

    - Des marrons, coquilles de noix, bouchons de lièges…

    - Des cure-dents,

    - Des graines (maïs, pois chiches...)

    - Des glands

    - De la colle

    - Des rondelles de bouchon

    Réalisation :<o:p></o:p>

    - Choisissez ce que vous voulez réaliser (bonhomme, lapin, girafe, ours...)

    - Assemblez les marrons, coquilles de noix, bouchons de lièges… et les glands entre eux avec des morceaux de cure-dents.

    - Réalisez les pattes, les bras et les jambes avec des cure-dents.

    Vous pouvez piquer des rondelles de bouchon en guise de pieds et de mains.

    - Terminez votre œuvre en collant des graines pour les yeux, les nez, les oreilles et les museaux.

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    Tableau nature<o:p></o:p>

    Matériel :<o:p></o:p>

    - des feuilles,

    - de la colle,

    - des crayons,

    - des fleurs, plantes… tous ce que vous pouvez trouver lors de promenade.

    Réalisation :<o:p></o:p>

    Avec tous ce que vous avez trouvés lors de vos promenades réaliser un tableau en réalisant un personnage, un paysage…

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    Recette de cuisine plante<o:p></o:p>

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    Soupe d’ortie<o:p></o:p>

    Ingrédients :<o:p></o:p>

    - bouquet de feuilles d'ortie (couper uniquement les têtes).
    - 2 gousses d'ail.
    - 3 pommes de terre.
    - 1 noix de beurre.
    - 1 pincée de sel.

    Réalisation :<o:p></o:p>

    - Laver les feuilles (attention celles-ci bien que coupées redeviennent piquantes lorsqu'on les plonge dans l'eau).

    - Les jeter dans une cocotte avec une noix de beurre.

    - Faire rendre l'eau à feu vif tout en remuant pendant 5 minutes.

    - Ajouter ensuite l'ail et les pommes de terre épluchées et coupées en morceaux.

    - Recouvrir l'ensemble d'environ 1litre à <st1:metricconverter w:st="on" ProductID="1 litre">1 litre</st1:metricconverter> et demi d'eau selon la taille des pommes de terre, saler et laisser cuire 1 heure.

    - En fin de cuisson passer le tout à la moulinette ou à défaut au mixer sachant que celui-ci fait ressortir le goût amidonné des pommes de terre.

    - Ajouter éventuellement un peu de crème fraîche.

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    Omelettes de pissenlits<o:p></o:p>

    Ingrédients :<o:p></o:p>

    - 5 beaux pissenlits (feuilles, quelques racines)
    - 1 oignon
    - 1 cuillère à soupe d'huile
    - 2 œufs
    - gruyère râpé
    - sel, poivre

    Réalisation :<o:p></o:p>

    - Faites dorer l'oignon dans l'huile, ajoutez-y les racines hachées finement.

    - Faites-les cuire, puis lorsque celles-ci sont tendres, ajoutez les feuilles de pissenlit et laissez-les fondre.

    - Battez les œufs avec le fromage, le thym et l'ail.

    - Versez sur les légumes et laissez cuire jusqu'à la consistance voulue.


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  • Un conte de fée pas ordinaire<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

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    Il était une fois dans un royaume très très lointain, comme tout vrai royaume qui se respecte, un roi. Ce roi avait un fils -qui était prince donc- que l’on appelait le prince Thomas. Un jour, le roi appela son fils en ces termes :
    - Mon fils,  Voici qu’approche le jour de ton vingtième anniversaire et tu n’es toujours pas marié. J’ai su dès ta naissance que tu étais un incapable, mais là, tu pousse le bouchon un peu trop loin, mon fils. C’est pourquoi j’ai trouvé pour toi une occasion en or. La princesse Rose Fleur de Violaine a été faite prisonnière par le vilain méchant sorcier Saurorg. J’aimerai que tu ailles la délivrer, et alors, pour te récompenser, elle sera bien obligée de t’épouser, comme le veut la coutume. Le prince Thomas se récria :
    - Mais je la connais même pas, moi, cette princesse ! Qu’est-ce que tu veux que j’aille l’épouser ?
    - Tu sais, mon fils, en plus d’être très belle, elle est très riche !

    Alors, en entendant cet argument qu’il trouva plus que convaincant, le jeune prince s’empressa d’enfourcher sa monture. Une monture, c’est bien sûr un animal sur lequel on peut monter. La plupart du temps c’est un cheval, ce peut être même parfois un âne (Sancho Pança ne se serait jamais passé du sien) mais dans le cas de Thomas, c’était un mouton. Il faut dire que notre prince était très pauvre et que pour dix pistoles, il n’avait pu trouver autre chose, à part peut-être une autruche en très mauvais état qu’un cirque avait déposé en occasion, mais notre prince n’était pas si ridicule que ça, il ne faut quand même pas exagérer !
    Bref, un beau matin, (parce que les matins sont toujours beaux dans les contes de fées), notre prince se met en route sur sa monture qui portait le doux nom de Timoléon, Tim pour les intimes. (Ça ne s’invente pas…). Il rencontra en chemin maints obstacles qu’il brava avec courage, comme par exemple une colonie de fourmis rouges qui ne voulait pas passer par le passage piéton (euh, fourmilier, pardon). Il tomba soudain nez à nez avec une petite créature qui gesticulait, prise au piège dans une toile d’araignée. Le prince Thomas ajusta ses lunettes pour regarder de plus près le petit prisonnier. Il ne mesurait pas plus de dix centimètres, avait la peau bleue et de gigantesques oreilles pointues.
    - Au lieu de me regarder planté là à ne rien faire, cria le petit bonhomme d’une petite voix suraiguë (tout était petit chez lui), tu ferais mieux de me sortir de là ! Le prince s’exécuta et décolla l’elfe en le tirant par un pied, puis le posa dans sa main.
    - Eh ! Je ne suis pas un jouet, moi ! Ne me secoue pas comme ça ! Le prince s’excusa.
    - Je suis Fleen, un elfe, reprit la créature d’une voix trop solennelle pour lui. Je suis le denier de ma race. Puisque tu m’as sauvé la vie, je me dois de te suivre jusqu’à ce que j’aie épongé ma dette d’honneur ! Et puis de toute façon, je n’ai rien d’autre à faire en ce moment…
    - Mais bien sûr ! Moi je dois aller délivrer une princesse d’un affreux sorcier, et toi, minus comme tu es, tu crois que tu peux m’aider ?
    - Ne m’insulte pas ! La taille ne compte pour rien, et puis, j’ai des pouvoirs magiques ! Le prince leva un sourcil sceptique. Et puis, susurra-t-il, je sais où se trouve le château de ta princesse !
    - Tu ne sais même pas laquelle c’est !
    - Des princesses emprisonnées, y en a pas trente-six !
    - Bon, d’accord… allez, viens !
    Le prince mit Fleen sur son épaule et tous deux (euh, tous trois, n’oublions pas Tim) se remirent en route. Quelques temps après, au détour d’un bosquet, ils virent se dresser devant eux les gigantesques tours du château de Saurorg. C’était un immense château plein de sculptures biscornues et de gargouilles. Quand ils approchèrent, ils s’aperçurent que les douves étaient remplies de lave en fusion et que l’on ne pouvait accéder que par un pont-levis brinquebalant. Tremblants, ils franchirent le pont-levis et arrivèrent devant une grande porte en bois de chêne. Mais elle était fermée, comme de bien entendu, et ils ne purent jamais l’ouvrir. Alors ils se mirent de profil pour faire le tour du château, sur une avancée qui ne faisait pas plus de vingt centimètres. Vous me direz que Fleen n’avait pas besoin, lui, de se mettre de profil vu qu’il était tout petit, mais son cerveau était tout petit aussi…
    En avançant ainsi comme des crabes, certes, ils avaient l’air ridicule (surtout Tim), mais ils trouvèrent une petite ouverture creusée dans la roche. Ils s’y faufilèrent, et rampèrent dans le boyau à quatre pattes. Fleen aussi qui – rappelons-le -avait le cerveau tout petit. Ils débouchèrent alors sur une immense caverne. De là ou ils étaient, ils pouvaient voir la princesse qui était ligotée à un mât. Malheureusement, ils pouvaient voir aussi un immense dragon noir qui montait la garde devant. Alors, soudain, on entendit de gros sanglots. C’était le prince Thomas qui pleurait de désespoir.
    - Mais, on n’y arrivera jamais ! Je retourne chez moi !
    - T’as bien une épée ? Béla Tim (oui, dans les contes de fées, les animaux savent parler.)
    - Même pas, je l’ai oubliée…
    - On est bien alors… Fleen intervint :
    - Je t’avais dit que je pouvais t’aider !
    - Je ne vois pas comment tu peux faire…pleurnicha Thomas.
    - Arrête de pleurer et laisse moi faire, tu veux ?

    Alors Fleen se mit à gonfler ses joues, des joues aussi larges que ses oreilles. Et il souffla, souffla encore, des milliers de bulles multicolores. Thomas et Tim étaient ébahis, c’était bien joli, mais à quoi ça pouvait servir ? Alors, les bulles allèrent se coller une à une sur les luisantes écailles noires du dragon. Celui-ci, quand il vit que les écailles noires qu’il avait mit si longtemps à lustrer et dont il était si fier étaient de toutes les couleurs, s’écria :
    - Mon dieu ! Quelle horreur ! Regardez-moi ce travail ! Et mon standing maintenant ? Comment je vais tenir ma réputation ? Je ne suis plus un vrai dragon maintenant ! Et il courut loin, très loin, pour aller se nettoyer dans la mer. On en était débarrassé, enfin une bonne chose de faite ! Nos trois héros descendirent près de la princesse. Le prince tira sur les cordes, mais comme il n’arrivait pas à défaire les nœuds, et qu’il avait oublié son épée, il se remit à pleurnicher.
    - A mon tout maintenant ! Bêla Tim. Le prince Thomas le regarda d’un air circonspect.
    - Et en quoi tu peux m’être utile, s’il te plait ? Tu vas faire des bulles multicolores ? Sans répondre à cette méchanceté, Timoléon se mit à brouter les cordes à toute vitesse et en moins de temps qu’il en faut pour le dire, la princesse fut libérée.
    - Mm mm mum muum, dit-elle.
    - Il faudrait peut-être lui enlever son bâillon, non ? suggéra Fleen, qui pour une fois une grande idée. Aussitôt dit, aussitôt fait ! La princesse se jeta au cou du prince :
    - Oh, mon sauveur !
    - On se marie, ma belle ? Histoire que j’enrichisse mon royaume ?
    - Le mariage, je veux bien, mais les sous, c’est une autre histoire…
    - Comment ça ?!
    - Il se trouve…euh, que j’ai fait…de mauvais placements en bourse et comment dire… : je suis ruinée.
    - Quoi ? Alors plus question de mariage ! A ce moment très précis le vilain Saurorg entra en trombe (oui, on aurait bien dit une trombe) dans la caverne.
    - J’ai entendu tout ce que vous avez dit ! On se prétend prince et on refuse les faveurs d’une si jolie princesse sous prétexte qu’elle est pauvre ! Mais c’est une honte !

    A partir de ce moment là la princesse ne regarda plus Saurorg -qui n’était pas si vilain que ça- du même œil.

     


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  • Enfants du monde

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     


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  • Fête des pères<o:p></o:p>

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    <o:p></o:p>Poésie :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>Un papa<o:p></o:p>

    Un papa rapluie
    Qui me fait un abri
    Quand j'ai peur de la nuit.

    Un papa ratonnerre
    Je ne sais pas quoi faire
    Quand il est en colère

    Un papa rasol
    Avec qui je m'envole
    Quand il rigole

    Un papa tout court
    Que je fête en ce jour
    Avec tout mon amour

    Pierre Ruaud<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Pour mon papa <o:p></o:p>

    Mon papa aimé, mon papa à moi,
    Toi qui me fais bondir
    Sur tes genoux
    Comme un chamois,
    Que pourrais-je te dire
    Que tu ne sais déjà ?
    Il fait si doux
    Quand ton sourire
    Eclaire tout sous notre toit.
    Je me sens fort, je me sens roi,
    Quand je marche à côté de toi.

    Maurice Carême<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Petit papa <o:p></o:p>

    Petit papa
    c'est aujourd'hui ta fête
    Maman l'a dit quand tu n'étais pas là
    Voici des fleurs pour couronner ta tête
    Et un bouquet pour mettre sur ton cœur
    Petit papa, petit papa.

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Carte :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Voici un site avec d’autres modèles de cartes :

    http://www.fete-enfants.com/fete-des-peres/fete-peres-imprimer_cartes.htm

    <o:p> </o:p>

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    Cadeaux :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Un pot à crayon :<o:p></o:p>

    Matériel :<o:p></o:p>

    - une boite de conserve (vide et propre),

    - du carton ondulé,

    - du scotch double face,

    - des feutres, crayons, de la peinture.

    Réalisation :<o:p></o:p>

    - Décorer le carton ondulé avec les feutres, la peinture… Vous pouvez aussi des paillettes, des perles, des plumes, des décorations que vous collez, des fleurs…

    - A l’aide du scotch double face coller le carton à la boite de conserve.

    <o:p> </o:p>

    Marque pages cravate :<o:p></o:p>

    Matériel :<o:p></o:p>

    - carton,

    - ciseaux,

    - peinture,

    - pinceau.

    Réalisation :<o:p></o:p>

    - Découper une bande de <st1:metricconverter w:st="on" productid="6 cm">6 cm</st1:metricconverter> de large sur <st1:metricconverter w:st="on" productid="21 cm">21 cm</st1:metricconverter> de long dans une feuille de papier épais.

    - Couper l'une des extrémités en pointe. <o:p></o:p>

    - Peindre la cravate marque pages.

    <o:p> </o:p>

    Tee-shirt décoré :<o:p></o:p>

    Matériel :<o:p></o:p>

    - un tee-shirt,

    - de la peinture sur tissus

    Réalisation :<o:p></o:p>

    - Avec de la peinture pour tissus décorer un tee-shirt. Il sera unique !!!

    <o:p> </o:p>

    Porte stylo :<o:p></o:p>

    Matériel :<o:p></o:p>

    - pâte à modeler durcissant à l’air ou de l’argile,

    - de la peinture,

    - un stylo.

    Réalisation :<o:p></o:p>

    - Malaxer la pâte à modeler entre ses mains pour la ramollir.

    - Rouler une grosse boule. <o:p></o:p>

    - Planter au centre le stylo de façon à former un trou dans lequel pourra être glisser le stylo une fois le porte -stylo terminé.

    - Laisser sécher.

    - Retirer le stylo en le faisant bouger doucement à droite et à gauche.

    - Peindre le porte-stylo.

    - Laisser sécher.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Diplôme :<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p>Imprimer le diplôme pour papa motif bateau</o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>Diplôme du meilleur papa, motif viking</o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>Diplôme du meilleur papa, motif dragon</o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>Diplôme du meilleur papa, motif coeur</o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>Diplôme du meilleur papa, motif oiseaux et coeur</o:p>

    <o:p></o:p> 

    <o:p>

    <o:p> </o:p>

    Coloriages :<o:p></o:p>

    </o:p>

     

     

     


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  •  Mousse à la banane<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

    Ingrédients (pour 4 personnes) : <o:p></o:p>

    - 4 bananes

    - 25 cl de crème fraîche légère

    - 2 cuillères à soupe de sucre

    - 1 demi-citron

    - 2 sachets de sucre vanillé

    - 2 blancs d'œufs

    - 1 pincée de sel

    <o:p> </o:p>

    Préparation :<o:p></o:p>

    - Pelez les bananes et mixez-les avec le jus du citron et le sucre en réservant une demi banane pour la déco. Mixez jusqu'à obtenir une crème lisse.

    - Fouettez la crème fraîche en chantilly avec, à mi-parcours, le sucre vanillé.

    - Montez les blancs en neige avec une pincée de sel.

    - Incorporez à la crème de banane la chantilly et ensuite les blancs.

    - Mettez la mousse dans des coupes et placez au réfrigérateur pendant 2 heures.<o:p></o:p>

    - Au moment de servir, parsemez de copeaux de chocolat et d'une tranche de banane.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    <o:p> </o:p>

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